Il s’est installé à Métis, curieux de découvrir une région. Il dit que Montréal et ses amis lui manquent mais que son lieu de travail le comble. Quelques années après son installation dans les cuisines de la villa Estaban, aux Jardins de Métis, Pierre-Olivier Ferry a «hérité» d’un potager. On allait réaménager, replanter celui d’Elsie Reford, à quelques différences près. La structure allait demeurer mais les plantations changeraient. La fraîcheur «en direct» allait transformer sa cuisine.
Aujourd’hui, grâce à la complicité de Patricia Gallant, la responsable des jardins, le potager de Métis est un lieu d’exploration. On y cultive des fines herbes, des fleurs, bulbes et rhizomes qui, en totalité ou en partie, ont la particularité d’être comestibles. La serre et les plates-bandes fournissent également des végétaux avec pour impact la diminution, voire l’abolition de l’usage des pesticides. Quand on veut manger ce qu’on cultive, les exigences sont strictes.La récolte, transformée dans les cuisines est bonifiée par les cueillettes en nature rapportées par quelques fournisseurs du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.

Aujourd’hui, grâce à la complicité de Patricia Gallant, la responsable des jardins, le potager de Métis est un lieu d’exploration. On y cultive des fines herbes, des fleurs, bulbes et rhizomes qui, en totalité ou en partie, ont la particularité d’être comestibles. La serre et les plates-bandes fournissent également des végétaux avec pour impact la diminution, voire l’abolition de l’usage des pesticides. Quand on veut manger ce qu’on cultive, les exigences sont strictes.La récolte, transformée dans les cuisines est bonifiée par les cueillettes en nature rapportées par quelques fournisseurs du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.