La corvée se met en branle dans trois maisons. Il s’agit d’abord d’ébouillanter et peler une trentaine de kilos de tomates italiennes. Puis, nous nous retrouvons pour travailler dans notre jardin et chez nos voisins immédiats. Les sauces cuiront dehors, sur un rond à induction. Un outil formidable. Les autoclaves ne sont qu’à quelques pas.
«Vincent le canneux» conserves.blogspot.ca nous fournira la recette de marinara. Toute simple, bien huileuse. Nous improviserons la suivante, un classique du quartier qui se transforme selon ce que nous avons à portée de main : oignon, ail, courgette, poivron grillé et tomates! Enfin, les tomates qui restent seront ajoutées à l’oignon et à l’ail émincés finement et «passées» pour 30 pots de 125 ml.
Toutes les tomates été égouttées avant la cuisson pour éliminer une partie de l’eau. Le résultat donne des sauces qui cuisent rapidement et très sucrées au final.
En même temps, quelques kilos de tomates sèchent dans le déshydrateur installé sur la galerie et, pour la première fois, nous «cuisons», au four, les pelures, avant de les pulvériser. Ce qui devrait donner un «concentré» de tomates.
Au bout d’une dizaine d’heures, nous obtenons 48 pots de 500 ml; 30 de 250 ml à partager. Et quelques cuillérées à table de poudre de pelure de tomates.